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Tu n’es guère moins sobre que moi, qui me nourrirais volontiers de fenouil et de cure-dents
Écrit par
Antonin Crenn
dans
la maison
À la maison, Paris.
Jean-Louis Guez de Balzac, livre III, lettre 3
Praktica super TL
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Mais ce sont des escaliers fées / Qui sous eux s’embrouillent toujours
Ravi d’entrer en liaison avec ce grand homme
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