Ce panorama profond, avec ses pentes gazonnées, où les ombres des arbres se dessinent en silhouettes arrêtées, où les massifs d’arbres eux-mêmes se découpent sur le ciel, nets et secs, comme taillés à l’emporte-pièce, semble d’abord trop cartonneux

Le panorama vers Autoire, Loubressac (Lot).

E. Bergerat, Journal officiel, 25 juin 1876

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