István Türr (il Garibaldino ungherese), Passeggiata del Gianicolo, Rome (Italie).
Pourvu qu’on soit morgant, qu’on frise sa moustache
Archives de l’auteur : Antonin Crenn
La jeunesse en sa fleur brille sur son visage
Gabriele Martucci della Spada, Passeggiata del Gianicolo, Rome (Italie).
Un peu de dureté sied bien aux grandes âmes
Domenico Cariolato, Passeggiata del Gianicolo, Rome (Italie).
Un officier en retraite, bougon et moustachu
Achille Fazzari, Passeggiata del Gianicolo, Rome (Italie).
Dans le vague avenir ma raison se promène
Paolo Narducci, Passeggiata del Gianicolo, Rome (Italie).
Il y a de la gravité dans le style
Maurizio Quadrio, Passeggiata del Gianicolo, Rome (Italie).
Du côté de la barbe est la toute-puissance
Anonimo con barba (1889) par Ettore Ximenes, Galleria d’Arte Moderna, Rome (Italie).
David ne donna jamais de plus beau combat
David (1900-1915) par Ettore Ximenes, Galleria d’Arte Moderna, Rome (Italie).
C’était un homme plein d’artifice et d’obscurité
Ugo Foscolo, Viale degli Ippocastani (Villa Borghèse), Rome (Italie).
Lanterne en main, chercher un homme est un dessein fort beau
Giordano Bruno, Pincio (villa Borghèse), Rome (Italie).
Mon penchant naturel est d’avoir peur des ténèbres
Annibale Caro, Viale degli Ippocastani (Villa Borghèse), Rome (Italie).
Dans un si noir chagrin leur sombre inquiétude
Fra Paolo Sarpi, Viale degli Ippocastani (Villa Borghèse), Rome (Italie).
À travers les herbes chevelues du rocher, la lune éclairait la tête du jeune homme
Federico Cesi, Pincio (villa Borghèse), Rome (Italie).
Nos ancêtres assis dans les ténèbres de la mort
Giovanni Battista Niccolini, Viale degli Ippocastani (Villa Borghèse), Rome (Italie).